Une étude très large menée sur près de 470 000 Européens et publiée dans la revue PLOS Medecine par une équipe de chercheurs de l’Inserm a permis de prouver que les individus consommant davantage de produits mal notés sur l’échelle Nutri-Score développaient davantage de cancers.
Malgré la validité du nutri-score encore une fois prouvée, celui-ci n’est pas obligatoire en vertu d’un règlement européen de 2011, fruit d’une intense campagne de lobbying de l’industrie agro-alimentaire.